Ricardo Branchini

« C’est ma sorte de fou fini, fan irréductible d’une période très précise et particulièrement riche dans l’histoire du rock : 1965-1968. Il y vit, en immersion : il incarnait Lennon dans le groupe Hommage aux Beatles, on l’a vu avec les nouveaux Jaguars, et ainsi de suite. Le revoilà, concrétisant une fois pour toutes son rêve.

Cet album, où il a tout écrit, composé et presque tout joué (avec David Massicote), ne contient que des chansons à lui qui ressemblent exprès à plein de chansons bien-aimées de ces années bénies. Parce qu’il ne cherche jamais à cacher clins d’oeil et références, frôlant parfois le pastiche (I Wish I Had A Wig renvoie à When We Was Fab, où George Harrison pastichait ses Fabs à lui). »

Sylvain Cormier
17 mai 2019
Critique Le Devoir

Man and his world